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Matthieu PIRIOU a vu le jour à l’aube du 26 juin 1993 à Saint-Brieuc, en Bretagne. Né au coeur d’une famille sans aucun musicien, malgré un goût prononcé de tous pour la musique et les mots, rien ne laissait à penser qu’il prendrait ce chemin. Mais c’est tout gamin qu’une envie soudaine lui prend, devant une guitare en plastique en rayon dans une grande surface, de faire de la musique.
Il commence alors la guitare a l’Age de 7 ans, en prenant un cours ou deux, par-ci-par- la. Mais il trouve rapidement un moyen qui lui convient mieux pour travailler son instrument : l’apprentissage autodidacte. Il explorera ainsi a travers les années et les crises d’adolescences des styles musicaux divers et variés comme le Punk et le Hard Rock. Mais ce n’est que plus tard, a l’écoute de guitaristes comme Tommy Emmanuel ou encore du duo Rodrigo y Gabriela, que Mat- tyeux commence a forger son jeu, comme un vrai mélange d’épices : plein de couleurs et de saveurs.
L’année de ses 18 ans marque le vrai départ de sa vie d’artiste : par l’organisation du festival l’AMPLI Monte le Son à la Cité à Rennes ou il partage la Scène avec Karpatt ou encore Christophe Bell Oeil, et a travers la rencontre d’artistes comme Louis Bertignac et Antoine Tatich, il comprend ou est sa place. Sur conseil de ces derniers, il commeence à écrire des chansons et à les défendre sur scène.
Il commence alors a construire, petit bout par petit bout, l’univers qu’on lui connait au- jourd’hui, rempli de vérités tantôt jolies et tantôt tristes, toujours contées avec ce tout petit sup- plément d’âme.
Au fur et a mesure des concerts, les chanson plaisent et l’univers grandit, on lui trouve tan- tôt des airs de Jacques Brel, tantôt des inspirations de Mano Solo, Jacques Higelin, Damien Saez ou Bernard Lavilliers.
L’année 2016 marque fortement sa jeune existence, échappant à la mort deux fois, d’abord le 14 juillet sur la Promenade des Anglais de Nice, puis lors d’un accident à la veille de Noël. Mais comme dirait Bell Oeil : «Comment ça marche un homme ? Petit 1, ça tombe, Petit 2, ça se relève». C’est dans ces âbimes là que Matthieu trouvera la force et la rage de dédier pleinement sa vie à la musique, coute que coute. Et vite. Si sa mâchoire cassée reste bloquée jusque fin février 2017, il se rééduquera en chantant et sortira son premier album «Jeux d’Enfants» le 26 juin de la même année, comme une revanche sur la vie pour son anniversaire, sauvé par la musique.
Ensuite, repéré en casting pour de grands projets artistiques parisien, il joint la comédie et l’acting à la musique lors de représentations ayant lieu d’abord au Parc des Princes puis au Pa- lais Garnier. Toujours avide de nouvelles aventures et de connaissances, il révèle avoir plusieurs cordes à sa guitare, et oscille aujourd’hui entre le cinéma, le théâtre, la cascade et la musique. Mais l’attrait pour cette dernière est toujours prépondérant, et il continue à travers les rencontres et les collaborations (The Humanizing Project by Madeline Fuhrman, La Marmaille de Mano Solo, accompagnement de diverses artistes sur scène à travers la France, ...) à parfaire son univers mu- sical et ses connaissances.
Aujourd’hui, Matthieu écrit et compose son deuxième album, pour lequel il a prévu de s’entourer d’êtres humains aussi talentueux que sensibles. Il a hâte de vous le faire découvrir sur les routes de France et d’ailleurs, mais vous propose avant cela un nouveau projet : La Musique Qui Pédale, un tour de france de concerts en solo et à vélo, en totale autonomie. Parce que nous sommes ici, que la vie existe, et l’identité. Parce que le spectacle continue et qu’il peut y apporter sa rime. Et vous, quelle sera votre rime ?
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Duo
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